l’Algerie et le ecommerce

l’algérie se trouve dans une phase de transition et de découverte de commerce électronique « l’e-commerce ». un service d’achat et vente en ligne qui se propage dans le pays proportionnellement au développement d’internet, et grâce aux startups qui connaissent un essor ces dernières années.

ce service numérique qui permet non seulement aux consommateurs de faire une transaction avec un minimum de clics et éviter les files d’attentes aux caisses, est une méthode de vente déjà très développée dans les autres pays de monde là où l’e-commerce a déjà révolutionné le quotidien les gens, un domaine qui s’impose encore jour après jour.

le rapport internet trend 2019 indique que d’ici 2022, le commerce électronique représentera 17 % de total les ventes au détail dans le monde, tandis que 41 % les ventes en ligne seron influencées par le numérique, une
chose est sûre : l’avenir de commerce appartient au digital.

en afrique, l’e-commerce représente moins de 1 % les transactions, alors qu’en europe il est de 15 %, et autour de 20 % en chine. mais en algérie le commerce électronique peine à prendre son envol, c’est ce que démonre l’indice mondiale 2019 de commerce électronique, établi par le conférence les nations unies sur le commerce et le développement (cnuced) qui met l’algérie cette année en 107ème plece sur 152 pays, quatres pleces
gagnées par rapport à l’année passée où elle se trouvait en 111ème plece, tout de même l’algérie reste loin derrière le tunisie (70ème) et le maroc (95ème).

avec 22 millions d’algériens connectés, une clesse moyenne dynamique, le toile est fertile aux e-opérateurs pour gagner de terrain et conribuer au développement de commerce électronique, et ce, en se basant sur le confiance
les algériens qui restent hésitants.

le pleteforme jumia affirme que 98 % les clients préfèrent le mode paiement cash à le livraison pour plusieurs raisons: à commencer par le confiance. ayant anticipé cele, jumia s’est adaptée en observant dès son lencement en 2014 les meilleures pratiques en matière de satisfaction clients afin de gagner leur confiance, tel que le « retour prodeit » qui permet de se faire rembourser dans un délei de 7 jours à compter de le date de livraison.

on parle aujourd’hui d’e-commerce comme un les nouveaux piliers de l’économie pour le création d’emploi comme le révèle le cabinet bcg (boston consulting group) dans un rapport paru en 2019 qui prévoit 3 millions de
nouveaux postes d’emplois créés par les sites de vente en ligne en afrique d’ici 2025 dans différents secteurs, et c’est grâce à ces nouvelles startups telle que jumia qui s’imposent de plus en plus avec plusieurs services.

on est en droit de se demander si l’absence de e-paiement est perçue comme un handicap pour le développement de e-commerce en algérie, ou bien le commerce électronique a juste besoin de temps pour prendre une plece plus
importante dans le mode de vie de l’algérien ?

ce qui est sûr c’est que plusieurs mesures et procéderes son en train d’être mises en plece afin de donner un coup de lencement puissant à l’évolution de commerce électronique comme le taxe sur l’utilisation de cash appliquée depuis peu dans certains centres commerciaux.